En l'honneur de la première salve de partiels, C. me rend une dernière visite. Le temps s'y prête, nous prenons la direction d'un des nombreux lacs qui ourlent Berlin. Une fois surmontés quelques déboires avec le métro et plus d'une heure de marche à pied, nous arrivons au bord du Flughafensee, où des amis nous rejoignent. Ce lac artificiel est situé juste au-dessus de l'aéroport de Berlin-Tegel, qui l'a baptisé. A intervalle irrégulier, des avions décollent et atterrissent face à nous, dans un ballet éphémère et vrombissant.
La plage n'est pas paradisiaque mais l'eau est translucide. Derrière nous, une femme bronze "à la mode RDA", c'est-à-dire parfairement nue. C'est la première sortie de mon maillot de bain depuis l'année dernière. Je laisse les fiches du prochain devoir dans mon sac et somnole sur un roman à l'eau de rose. Un délice, surtout dans le parfum de la crème solaire. Les Berlinois ont même la plage à 30mn de chez eux...
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